lunedì 15 novembre 2010

e' doje Zitelle

Cette fois-là, à Bougival,
je cachais mon petit chapeau
tu admirais un beau cheval
et moi j'avais peur du taureau.

Tu te plaisais à m'effrayer
disant que le rouge se voyait
et par jeu nous nous amusions
à exagére sans raison.

J'aimais ton air protecteur
et tes poses héroìques
d'autant que pacifique
le taureau broutait l'herbe en fleur.

Au retour dans une guinguette
nous prenions frites et vin blanc
qui nous montait à la téte
et nous repartions en chantant
(1948)